Résumé :
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Analyse de la représentation de l’exil au cinéma depuis la naissance de cet art au début du 20e siècle : les figures d’exilés ; l’apport des immigrés à l’industrie hollywoodienne ; les emprunts au récit de voyage et d’apprentissage, l’exemple d’"America, America" d’Elia Kazan ; la figuration des thèmes du voyage initiatique, du sentiment d’exil et des frontières, l’exemple de "L’Eternité et un jour" de Theo Angelopoulos et des films d’Amos Gitaï ; les choix esthétiques et les structures narratives permettant d’exprimer le sentiment d’exil, la forme du "road movie" ; le zombie, figure allégorique du vagabond.
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